Une première image de la JMPS
Même si l'on préfère l'argentique au numérique, force est de constater que certaines possibilités offertes par les logiciels de traitement d'images sont bien pratiques.
Après la JMPS j'ai voulu développer les deux films de T.Max que j'avais. J'ai donc pris le révélateur préparé, de l'XTol, que j'ai dilué 1+1 pour une utilisation à bain perdu à 20° et me voilà partie pour 9'30 avec agitation toutes les 30"...
Las ! après traitement complet quelle ne fut la déception de constater que tout était sous-développé !
L'XTol, n'a visiblement pas les mêmes capacités de conservation que mon habituel révélateur T-Max !
En trente ans (au bas mot) de développement de films, c'est bien la première fois qu'une telle mésaventure m'arrive !
C'est là qu'intervient la phase numérique. Car je dois dire que s'il m'avais fallu tirer ces images en baryté, j'aurais certainement peiné ! il aurait sûrement fallu un grade 5 mais aussi un révélateur un peu plus concentré que mon usuel Neutol à 1+9. Et je ne parle même pas du temps qu'il m'aurait fallu pour dégager le plan de travail, faire le noir...
Là, un petit coup de scanner, une courbe dans Totoshop, paré pour le dépoussiérage... en une demi-heure le tour était joué... Bon, une heure, allez, je vous l'accorde!
Le modernisme a du bon, parfois...:-)
A suivre... avec d'autres images issues des mêmes bobines
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